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dimanche 3 août 2025

L'Ombra della Sera

 

Le deuxième album de l'Ombra della Sera (Fabio Zuffanti, Agostino Macor, Andrea Orlando et Alessandro Corvaglia) est en cours de finalisation. Il comportera dix thèmes tirés des bandes son des téléfilms italiens fantastiques des années 70, traités dans un mode symphonique.
En version vinyle, il s'agira d'un double album.

mercredi 5 avril 2023

Luca Scherani : Everything's changing

Vous avez entendu parler de La Coscienza di Zeno, de Trama, de Höstsonaten, de Merlin The Rock Opera  de Fabio Zuffanti, alors vous connaissez Luca Scherani ! C'est aussi lui qui a assuré récemment une bonne partie de la conception de l'album solo de Stefano Lupo Galifi (Museo Rosenbach), Dei Ricordi, un museo. C'est vous dire si ce musicien, en plus d'être un garçon charmant et gentil, sait se rendre indispensable. Plus de dix années après le très réussi Everybody's waiting, il sort (enfin) son quatrième album solo. Le mutisme de son groupe phare, La Coscienza di Zeno, explique peut être cette envie de combler un vide comme semble le démontrer la deuxième piste, "Il discorso", qui nous permet d’entendre à nouveau la voix si expressive, si italienne d'Alessio Calandriello dans un style similaire à celui de la Coscienza di Zeno. Mais non, en fait ce Everything's changing est bien une création solo de Luca Scherani qui nous présente toutes les facettes d'une personnalité artistique plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord. Car si l'on connaît et apprécie le Luca Scherani délivrant des compositions se distinguant par leur finesse extrême ("Piccole gocce", "Awondalimba" ou encore "La necessità" et son bouquet de quatre flûtes enrobé par un délicat arrangement de synthé), ou par leur romantisme exacerbé en format musique de chambre ("Prologo frammentario", "Nebbia sul buio"), il est aussi capable de nous étonner avec des pièces beaucoup plus aventureuses comme le légèrement technoïde "Everything's changing" qui fonctionne sur une gamme pentatonique à résonance orientale ou encore avec la mini suite "La ragione" qui se termine par une longue explosion symphonique. Dans un genre radicalement différent, "Un viaggio verso un sogno" s'affiche d'abord franchement jazz-rock avant de pencher vers quelque chose de plus pop tout en restant dans un registre délicieusement jazzy. Les cuivres sont ici mis en avant et l'ami Martin Grice est comme toujours impérial au saxophone. "Un viaggio verso un sogno" est évidemment un titre très accrocheur qui permet aussi de découvrir la magnifique voix de Sefora Firenze pour une séquence très Matia Bazar (Sefora a clairement des intonations qui rappellent le chant de la grande Antonella Ruggiero, au point que c’en est troublant). Luca  signe également avec "Ghiaccio calpestato", une perle de musique minimaliste mélodique à la frontière de l'avant-garde. L’enchaînement avec "Cristina" est d'ailleurs bien vu tant cette pièce prolonge la précédente avec cette fois une incursion vers le sérialisme de Pierre Boulez. J'ai bien sûr un faible pour "Il cosmo" marqué par cette progression, prenant la forme d'un crescendo, matérialisée par ce passage de relais qui se fait entre le quatuor à cordes, qui débute le morceau, et le groupe rock, duquel émane la guitare lead de Paolo Ballardini, qui amène le titre jusqu'à son outro. Arrivé presque au terme de cet album, vous aurez remarqué je l'espère, la récurrence d'un thème que l'on retrouve, sous une forme à chaque fois un  peu différente,  à quatre reprises dans l'album, d'abord sur "Il discorso", puis sur "La ragione" et "La necessità" et enfin sur "Il cosmo" justement. Ces quatre morceaux sont en fait les quatre passages d'une suite en quatre mouvements imaginée par Luca pour illustrer musicalement la théorie du mouvement et de l'écoulement perpétuel défendue par Héraclite ("Tout passe, rien ne reste"). Il est aussi bon de noter que Luca termine l'album sur une pirouette inattendue avec "Ein lied: der soldatenfriedhof in Bruneck". Il s'agit, comme son nom l'indique, d'un lied, c'est à dire d'un poème écrit en allemand et mis en musique avec une association piano/voix, cette dernière prenant une connotation lyrique en la personne de la soprano Chiara Bisso qui est parfaite dans ce rôle de composition. J'avoue rester assez hermétique à ce type d'exercice, mais c'est le choix de Luca. 
J'avais déjà grandement apprécié Everybody's waiting sorti en 2012 (il est d'ailleurs présenté en détail dans mon livre Plongée au cœur du rock progressif italien), mais je dois dire qu'avec Everything's changing, Luca Scherani franchit un cap important, sans aucun doute celui de la maturité artistique pour un musicien qui a aujourd’hui quarante cinq ans et encore un bel avenir devant lui. En tout cas Everything's changing est un très bel album qui démontre l'immense talent d'écriture de son créateur et ordonnateur. Luca est un des rares musiciens, parmi tous ceux que je connais, à être capable de marier avec autant de bonheur la musique classique avec des styles musicaux plus modernes pour nous proposer in fine des pièces parfaitement construites et sonnant magnifiquement ("la ragione" en est un sacré exemple). Bellissimo !

Aux côtes de Luca, on trouve nombre de musiciens de la sphère génoise à commencer par Fabio Zuffanti (Finisterre, Höstsonaten, La Maschera Di Cera), Paolo Tixi (Il Tempio delle Clessidre), Andrea Maddalone (New Trolls), Matteo Nahum (Nanaue, Höstsonaten, La Maschera Di Cera...), le guitariste soliste Pino Ballardini (Ballard), mais aussi une légende en la personne de Bob Callero (Osage Tribe, Duello Madre, Lucio Battisti...) sans parler de la famille avec Joanne Roan et Alice Scherani, que j'ai connu toute petite. C'est dire si Luca est bien entouré ! 
 

Les musiciens : Luca Scherani (claviers, guitares, basse, percussions, programmation, vocoder, bouzouki, glockenspiel, flûte), Alessio Calandriello (chant), Paolo Tixi (batterie), Fabio Zuffanti (basse), Bob Callero (basse), Andrea Maddalone (guitares), Matteo Nahum (guitares), Paolo Ballardini (guitares),  Marco Callegari (trompette), Martin Grice (saxophone), Stefano Massera (harpe), Joanne Roan (flûte), Alice Scherani (flûte) + le quatuor à cordes composé de Sylvia Trabucco (violon), Alice Nappi (violon), Ilaria Bruzzone (violon), Chiara Alberti (violoncelle).


La tracklist (vous pouvez écouter les titres en cliquant dessus): 

1. Piccole gocce
2. Il discorso
3. Prologo frammentario
4. Everything's changing
5. Un viaggio verso un sogno
6. Nebbia sul buio
7. La ragione
8. La necessità
9. Ghiaccio calpestato
10. Cristina
11. Awondalimba
12. Il cosmo
13. Ein lied der soldatenfriedhof in Bruneck 

Voilà le lien pour commander le CD via BTF.IT

mardi 10 janvier 2023

La Maschera Di Cera : tournée 2023

Très belle nouvelle avec cette annonce de la tournée des vingt ans + 1 (!) de La Maschera Di Cera. On parle ici d'une formation qui a marqué le prog italien de son empreinte en produisant six albums importants dont les sorties se sont étalées entre 2002 et 2020 avec au passage un point haut en 2013 (déjà !) avec Le Porte del Domani s'inspirant (au moins pour la pochette) de Felona e Sorona, l'album mythique de Le Orme. Le noyau dur de cette formation est constitué de Fabio Zuffanti, d'Agostino Macor et d'Alessandro Corvaglia. Plusieurs autres musiciens ont fait partie du groupe à commencer par le flûtiste Andrea Monetti qui était encore là en 2014 pour le concert en mai à Gênes avec Maurizio Di Tollo à la batterie et Laura Marsano à la guitare électrique mais ... sans Fabio Zuffanti remplacé pour l'occasion par Gugliemo Mariotti. La raison étant que Fabio devait prendre l'avion le même jour pour le Quebec où il devait jouer avec son ZBand (La Quarta Vittima). J’avais parlé longuement avec Fabio qui m'avait indiqué que La Maschera Di Cera c'était probablement fini. La suite a montré qu'il avait changé d'avis. Tant mieux ! L'album S.E.I. est arrivé en 2020 et son contenu a démontré qu'il fallait toujours compté avec La Maschera Di Cera

Les dates ne sont pas encore toutes fixées, mais il s'agit d'une tournée solide avec des concerts programmés en Italie (un pour l'instant, d'autres vont être annoncés bientôt), en Angleterre, au Québec. Mais surtout, nous aurons la chance de voir le groupe en Belgique (au Spirit of 66) et en France (çà c'est plus inattendu). Pour avoir vu plusieurs fois ce groupe sur scène, dans différentes configurations, je dois avouer qu'il se passe quelque chose à chaque concert au niveau de l’ambiance. En live, la musique de La Maschera Di Cera dégage un je ne sais quoi d'intense créant ainsi un univers envoûtant. Si vous pouvez attraper au moins un concert, faites le, vous ne seras pas déçu !

vendredi 11 décembre 2020

Mesmerising : The clutters storyteller

Première écoute distraite (je dois le reconnaître) de cet album : une collection de chansons. C'est bon, c'est bien fait, c'est propre et c'est flatteur à l'oreille. Deuxième écoute : c'est pas mal fouillé finalement, avec des arrangements qui me plaisent vraiment beaucoup. Çà mérite une troisième écoute : il y a une musicalité globale qui me parle, des accents, notamment du côté du saxo et de la flûte mais aussi des sonorités de claviers, que j'ai impression de connaître. Et pour cause, au dos de la jaquette, la liste des musiciens qui jouent sur l'album : Fabio Zuffanti à la basse, Martin Grice aux instruments à vent, Giovanni Pastorino aux claviers, Simone Amodeo aux guitares et Paolo Tixi à la batterie. C'est en fait la squadra du Z-band qui est derrière Davide Moscato (créateur du projet Mesmerising). Les arrangements sont de Davide, Fabio et Giovanni. L'ingénieur du son est Robbo Vigo. Cet album est donc estampillé à 100% "prog génois". Voilà qui me met dans de bonnes dispositions pour écouter (très attentivement) une quatrième fois ce CD. Là, je dois dire que je suis subjugué : les compositions qui me semblaient relativement lambda au départ apparaissent tirées vers le haut grâce à l’interprétation tip top des instrumentistes, du fait d'arrangements réellement luxueux mais aussi grâce à la voix de Davide Moscato que je découvre au passage. Et ce n'est que justice que de s'arrêter un  moment sur lui car c'est son projet et ce sont ses compositions. Sa tonalité de voix est vraiment très agréable, puissante avec une tessiture vocale étendue qui fait régulièrement merveille jusqu'à flirter avec le lyrique ("False reality"). Ce garçon impose une réelle présence au chant et je n'ai que peu de doutes sur le fait qu'il a derrière lui une grosse expérience de performer. Musicalement, il faut aller chercher du coté d'une pop sophistiquée, de grande classe, baignant dans des ambiances de prog symphonique ce qui relativise d'autant le côté mainstream des lignes mélodiques au demeurant fort belles. Dans ce contexte, le chant en anglais est parfaitement raccord et je dirais même naturel. De manière surprenante, peut être aussi un peu troublante, j'ai quand même l'impression, pas désagréable du tout, d'entendre un album qui aurait pu être enregistré il y a très longtemps, une fois encore sans doute en grande partie à cause des arrangements. Mais pas que. Davide a dû écouter beaucoup de groupes pop/rock des années 70 qui l'ont marqué (Davide est né en 1977!). Ses nombreuses covers d'Alan Parson, Aerosmith, John Lennon, Elton John, Queen, Steppenwolf, Supertramp sont à cet égard autant de marqueurs très précis de ses influences auxquelles on peut rajouter sans problème Barclay James Harvest ou Procol Harum. Sa vision de ce que doit être une belle chanson pop, avec juste ce qu'il faut d'intensité rock, en est évidemment très imprégnée. Moi, çà me va bien car nous partageons la même culture musicale. Et quand Davide s'attaque au rock progressif en frontal, cela donne "Underground" qui est en fait une succession de séquences, formant une mini suite, reliées entre elles par une ligne de chant somptueuse. Tout y est : les variations de rythmes, les relances au piano,  les trilles à la flûte, le pont instrumental en tutti aventureux, les soli de guitare en décollage vertical. D'ailleurs puisqu'on parle de prog (quand même !), les oreilles les plus aguerries auront repéré quelques incursions, certes discrètes, dans l’univers musical de La Maschera di Cera, sur l'intro de "Feel..." par exemple ou encore à partir du break qui abouti à un changement de  tempo sur "The man who's sleeping". Preuve que la Zuffanti team n'a pas fait le voyage pour rien !
Le point fort de cet album réside incontestablement dans la force de ses mélodies animées d'une inspiration constante. Le summum en la matière, en terme d'intensité, se situant sûrement au niveau de deux morceaux qui se suivent : "The vortex" et " False reality", avec pour ce dernier une perfection formelle qui permet à Davide Moscato de se hisser sans problème au niveau de son modèle, Freddy Mercury.    
Il me reste à souhaiter le meilleur pour la suite à Davide avec pourquoi pas une nouvelle aventure musicale dans le rock progressif qu'il aura fait avancer à sa manière en empruntant une voie stylistique finalement plus originale qu'il n'y paraît au premier abord et qui demande surtout une grande justesse dans le ton et beaucoup de finesse dans la forme pour être parfaitement réussie. C'est le cas ici !  

  • 1 - Feel...
  • 2 - ...My dream
  • 3 - Ballad of a creepy night
  • 4 - Slave of your shell
  • 5 - Underground
  • 6 - The vortex
  • 7 - False reality
  • 8 - In a different dimension
  • 9 - The man who's sleeping
  • 10-The last time you called my name

Label : Lizard Records    

jeudi 17 septembre 2020

La Maschera di Cera : S.E.I.

Le 18 septembre 2020, jour de mon anniversaire, La Maschera di Cera sort son nouvel album. Quel beau cadeau ! Merci Fabio !
A la manœuvre on retrouve le trio de base (Fabio Zuffanti, Agostino Macor et Alessandro Corvaglia) augmenté de Martin Grice et Paolo Tixi qui étaient également de la partie pour un autre projet de Fabio (le Z band).
S.E.I. pour Separazione, Egolatria, Inganno (séparation, égoïsme, tromperie) ne comprend que trois morceaux. : "Il Tempo Millenario" (qui occupe toute la face A de la version LP pendant plus de vingt et une minutes), "Il cerchio del comando" et "Vacuo senso" (face B sur le LP qui font respectivement dix et onze minutes). La Maschera di Cera abandonne ainsi le format court, de type chansons, qui était la norme pour ses deux derniers disques (Petali di Fuoco et Le Porte del domani).
Vous voulez bien spur savoir ce que vaut ce sixième album d'un groupe qui va doucement mais sûrement vers ses vingt ans d'existence ?
Pour moi, la vraie question n'est pas de savoir si cet album est bon, car il l'est, oh combien ! mais bien si j'arrive à rester objectif tant ces musiciens ne m'ont jamais déçus individuellement ou en collectif. Si la très longue suite Il Tempo Millenario reste dans la continuité de ce que sait faire le groupe, c'est à dire pratiquer un rétro prog italien revendiqué, joué par les meilleurs connaisseurs du genre, c'est sans doute avec Il Cerchio del Comando et surtout Vacuo Senso que La Maschera di Cera réussit le mieux à apporter de la nouveauté. Attention, pas de révolution  de palais en vue, mais plutôt des digressions stylistiques apportées par touches savamment dosées concentrées sur des parties bien ciblées de chacun de ces deux morceaux, le tout s'emboîtant parfaitement avec le style habituel du groupe.
Pour Il Cerchio del Comando il s'agit surtout d'une inclinaison vers un prog plus international qui pourrait aussi bien rappeler Jethro Tull, Yes ou même de manière plus surprenante (quoique) Herba d'Hameli. En tout cas, que cette chanson est belle et réussie avec cette tonalité d’ensemble qui nous ramène tout droit au meilleur de Le Porte del domani .   
C'est avec Vacuo Senso le groupe s'aventure encore plus loin et ose une juxtaposition étonnante mais réussie entre trois parties ("prologo", "Nella Rete dell'Inganno" et "Ascensione") estampillées 100 % La Maschera di Cera et deux autres qui flirtent ouvertement avec le Canterbury jazz sound ("Dialogo" et "Il risveglio di S") permettant à Agostino Macor et Martin Grice de se distinguer sur les sections instrumentales (le claviériste italien et le souffleur anglais sont de toute façon les grands bonhommes de ce disque). On  sent surtout qu'un soin tout particulier a été apporté à la composition de ce morceau avec un enchainement réellement fluide des parties et un final qui porte bien son nom, ("Ascensione"), absolument magnifique, comme seule La Maschera di Cera en est capable. Car je l'ai souvent dit et écrit mais il se dégage de la musique de ce groupe une ambiance particulière faite à la fois de puissance retenue, de grandeur désintéressée et de mystère planant en permanence. C'est prégnant en écoute sur disque, c'est évident si vous avez eu la chance d’assister à un concert du groupe. En cela, la suite à rebondissements Il Tempo Millenario, répond parfaitement à ces caractéristiques qui font de La Maschera di Cera un groupe à part qui a pour moi depuis longtemps sa propre identité et sa propre signature sonore, ce qui rend inutiles à mon avis les références aux anciennes et glorieuses formations de prog, principalement italiennes, mises systématiquement en avant par le groupe.
La Maschera di Cera est un grande formation qui domine majestueusement le prog italien de ce début de vingt et unième siècle.

La tracklist détaillée :
1. Il Tempo Millenario
- a) L'anima in Rovina
- b) Nuvole Gonfie
- c) La Mia Condanna
- d) Scparazione
- e) Del Tempo Sprecato
2. Il Cerchio del Comando
3. Vacuo Senso
- a) Prologo
- b) Dialogo
- c) Nella Rete dell'Inganno
- d) Il Risveglio di S
- e) Ascensione


Le groupe : Alessandro Corvaglia (chant, guitare acoustique), Agostino Macor (claviers),Fabio Zuffanti (guitare basse), Martin Grice (sax et flute), Paolo “Paolo Tixi (batterie, percussions).

Les liens
Le bandcamp du groupe :
https://lamascheradicera.bandcamp.com/ 
pour commander :
https://www.btf.it/la-maschera-di-cera-sei-lp-green-coloured-vinyl.html








samedi 4 juillet 2020

Mesmerising : The Clutters Storyteller


"Feel my dream" est un très beau titre extrait du nouvel album de Davide Moscato alias Mesmerising qui a su très bien s'entourer avec un backing band composé de Giovanni Pastorino (claviers), Martin Grice (flûte et saxophone), Paolo Tixi (batterie), Simone Amodeo (guitare) et Fabio Zuffanti himself à la basse et à la production. Voilà qui devrait rappeler de bons souvenirs à tous ceux qui ont suivi les aventures de Fabio et de son ZBand (La quarta Viitima).
On attend donc avec impatience de pouvoir écouter les autres morceaux de The Clutters Storyteller, publié par Lizard records.
Pour l’instant, vous pouvez savourer "Feel my dream" et sa très belle vidéo.
https://www.youtube.com/watch?v=VA9YH2T2ufE