mercredi 22 juillet 2020

Witchwood

Witchwood remet bientôt çà avec un  nouvel album prévu pour l'automne 2020, qui s’appellera Before the winter, toujours chez Jolly Roger Records.
Voici un premier titre en avant première avec la le clip vidéo qui va bien. "A Taste of winter" devrait ravir les fans du Deep Purple MK III et d'Uriah Heep, la flûte tulliene en plus.
Écouter et visualiser "A taste of winter" en cliquant sur ce lien

mardi 14 juillet 2020

OTEME : un saluto alle nuvole (trad. italiano)

All'inizio di OTEME c'è l'Osservatorio Delle Terre Emerse, gruppo fondato nel 2010 da Stefano Giannotti. Per questo quarto album (il primo è uscito nel 2013), la band è composta da 13 musicisti; questo permette loro di utilizzare una vasta gamma di strumenti per una musica che oscilla molto tra il rock da camera e l'avanguardia, con alcuni elementi folk, jazz e pop che fanno da collegamento.
L'album si chiama Un Saluto alle Nuvole e parla della fine della vita, un tema a cui Stefano Giannotti si è interessato quando si è recato a condurre una serie di interviste al personale di un Hospice che si confronta quotidianamente con la morte dei pazienti. Perché ne sto parlando con voi? Perché diversi pezzi iniziano con estratti di queste interviste. Per questo lavoro di raccolta di testimonianze, Stefano ha ricevuto un premio nel 2019. Musicalmente l'argomento è un po' meno serioso, fortunatamente anche più leggero, come quello che sentiamo da
"Chiudere quella porta" e su molti brani ("E c'è qualcuno", "Un ricordo bello", "Un saluto alle nuvole"). Perché la musica proposta è certamente molto sofisticata ma allo stesso tempo molto ariosa con elementi a volte un po' bizzarri ("Gli angeli di San Cataldo", "Quando la sera", "Tumi") ma globalmente ciò che si ascolta si colloca al limite del contemplativo. Le mie preferenze vanno a "Una mamma disperata" che potrebbe ricordare Paolo Conte e "Per i giorni a venire", un pezzo davvero grande, che mescola jazz e avanguardia.

Tracklist :
1. Chiudere quella porta
2. E c'è qualcuno
3. Un ricordo bello
4. Dieci giorni
5. Gli angeli di San Cataldo
6. Quando la sera
7. Tumi
8. Una mamma disperata
9.  Per i giorni a venire
10. Un saluto alle nuvole
i muscisti
Irene Benedetti: voice, flute, piccolo 
Valeria Marzocchi: voice, flute, recorder 
Elia Bianucci: clarinet, bass clarinet 
Lorenzo Del Pecchia: piccolo clarinet, clarinet 
Stefano Giannotti: voice, guitar, electric guitar, banjo, componium, percussion 
Emanuela Lari: voice, keyboards 
Valentina Cinquini: harp, voice 
Vittorio Win Fioramonti: voice, double-bass, electric bass, chromatic harmonica 
Antonio Caggiano: vibraphone, percussion 
Riccardo Ienna: drums 
Blaine L. Reininger: violin 
Edgar Gomez, Gabriele Stefani: vocals
Teaser YT

OTEME : un saluto alle nuvole


Au départ OTEME, c'est Osservatorio Delle Terre Emerse, groupe fondé en 2010 par Stefano Giannotti. Pour ce quatrième album (le premier date de 2013), la formation comprend 13 musiciens permettant ainsi d'utiliser une large palette d'instruments pour une musique  qui oscille beaucoup entre rock de chambre et avant garde avec quelques éléments folk, jazz et pop pour faire le lien. 
L'album s'appelle donc un saluto alle nuvole (un bonjour aux nuages) et a pour thème la fin de vie, sujet auquel s'est intéressé Stefano Giannotti en allant réaliser une série d'entretiens avec le personnel d'un hospice confronté quotidiennement à la mort des patients. Pourquoi je vous parle de çà ?  Parce que plusieurs morceaux commencent par des extraits de ces interviews. D'ailleurs pour ce travail de recueil de témoignages, Stefano a reçu un prix en 2019. Musicalement, le propos est un peu moins grave heureusement voire même carrément léger comme ce que l'on entend dès "chiudere quella porta" et encore sur de nombreux titres ("E c'è qualcuno", "Un ricordo bello", "Un saluto alle nuvole"). Car la musique proposée est certes très sophistiquée mais en même temps très aérée avec parfois des trucs un peu bizarres ("gli angeli di San Cataldo", "Quando la sera", "Tumi") mais globalement çà se laisse écouter avec des passages à la limite du contemplatif. Mes préférences vont à "Una mamma disperata" qui pourra rappeler Polo Conte et "Per i giorni a venire" qui est un vrai grand morceau mélangeant jazz et avant-garde.     

La tracklist :
1. Chiudere quella porta
2. E c'è qualcuno
3. Un ricordo bello
4. Dieci giorni
5. Gli angeli di San Cataldo
6. Quando la sera
7. Tumi
8. Una mamma disperata
9. Per i giorni a venire
10. Un saluto alle nuvole.

Le groupe : Irene Benedetti (chant, flûte, piccolo), Valeria Marzocchi (chant, flûte, bandes enregistrées), Elia Bianucci (clarinette, clarinette basse), Lorenzo Del Pecchia (clarinette, clarinette piccolo), Stefano Giannotti (chant, guitares,  componium, percussions), Emanuela Lari (chant, claviers),Valentina Cinquini (harpe, chant), Vittorio Win Fioramonti (chant, basse, harmonica chomatique), Antonio Caggiano (vibraphone, percussions),Riccardo Ienna (batterie), Blaine L. Reininger (violon), Edgar Gomez (chant), Gabriele Stefani (chant).
Voici les liens pour vous permettre de mieux connaître le groupe (son site) et sa musique (sur bandcamp) avec en plus un teaser qui ne vous dira pas grand chose (sur YT).
Mieux vaut à mon avis écouter directement les morceaux sur bandcamp.

dimanche 12 juillet 2020

Corpo III

Croyez vous qu'il puisse exister un groupe qui se situe musicalement à mi chemin entre Picchio dal Pozzo d'un côté et Opus Avantra de l'autre ? Quand on connaît ces deux formations, leur niveau d'excellence technique et leur degré d'exigence musicale, cela paraît difficile. Et pourtant ce groupe existe. Il s'appelle Corpo et a été formé en ... 1969 à Montesardo à côté de Lecce. Après avoir pas mal tourné dans les années 70 et avoir connu un certain succès en Allemagne et en Suisse, les membres de Corpo refusèrent au dernier moment d'enregistrer leur premier album (en France !) par manque de confiance dans l'industrie musicale. Nous étions alors en 1977. Le groupe tomba ensuite bien sûr dans les oubliettes.
C'est Loris Furlan qui redécouvrit Corpo en 2016 et exhuma les bandes de l'époque pour en faire un coffret de deux disques (Corpo I & II) publié, comme il se doit, chez Lizard Records. Devant l'intérêt suscité par leur musique, les frères Calignano (Biagio et  Francesco) ont décidé de remettre le couvert en 2020 et nous proposent un album étonnant, pour ne pas dire unique en son genre, sobrement intitulé III, qu'ils définissent eux-même comme un disque de musique totale.
A l'écoute de l'opus, il apparaît qu'effectivement les musiciens ne se contentent pas de se cantonner à un genre défini. Outre les deux groupes de référence cités plus haut, Corpo III va chercher loin ses sources d'inspiration : le classique (Ravel, Stravinski, Mahler), le Canterbury, le Rock in Opposition, le free jazz mais aussi le Krautrock et même l'électro rejoignant en cela les travaux les plus exigeants de Franco Battiato mais en dépassant sans aucun doute le maître dans cet exercice périlleux. Quasi exclusivement instrumentale (une voix féminine lyrique apparaît toutefois à deux reprises, d'où le rapprochement avec Opus Avantra), sa musique subit quelques déstructurations admirablement contrôlées. L'impression d'avoir affaire à un kaléidoscope sonore s'impose rapidement de par la richesse du propos et tourne même au bout d'un moment à l'écoute obsessionnelle, l'oreille se mettant en mode "alerte permanente" à la recherche de la moindre variation (et dieu sait qu'il y en a tout au long de cet album et de ses huit pièces).
Le tout donne un résultat captivant, sonnant à la fois daté et d'avant-garde, donc sûrement intemporel mais en tout cas remarquable et totalement décalé par rapport à ce qui sort aujourd'hui.

Ce lien YT vous permettra de vous faire une idée de l'OVNI musical qui vous attend.

La tracklist :
1. Rue Bourbon a New Orleans
2. Musiche per la sepoltura di Gigia fedelissima cagnolina spartana
3. Lincoronazione di Maria Carolina a caserta per mano dei filosofi parmenidei (parte prima)
4. Lecce
5. Quando i greci dellitalia del sud inventarono il mondo
6. Francesco Calignano suona per Girolambo Malcarne
7. Il tempo è solo un illusione
8. Osvaldino e il gatto con gli stivali del mosaico di Otranto

Les musiciens :
Francesco Calignano (guitares, effets), et Biagio Calignano (claviers, synthé basse, batterie) sont accompagnés de : Giuseppe Amoroso (trombone, tuba), Fabio Cicerello (saxophones ténor et soprano), Antonio Grassi (trompette), Ivana Cammarota (chant), Andrea De Jaco (basse), Mario Calignano (basse sur 6)

Label : Lizard Records (http://www.lizardrecords.it/)

mercredi 8 juillet 2020

Monjoie : Love sells poor bliss for proud despair

Le groupe Monjoie a été formé il y a déjà plus de vingt ans, en 1999. Son objectif était de fusionner les différentes idées (pas seulement musicales) de chacun de ses membres et de les réunir dans un format chanson en donnant une importance toute particulière aux paroles.  Côté musique, il s'agissait de réunir et de mélanger des  styles aussi divers que le folk, le jazz, la new wave, l’électronique analogique, le rock progressif, la chanson d'auteur, associés à la propre idée que ces musiciens se faisaient de la pop afin de créer un son original, qui soit volontairement difficile à étiqueter. 
Après Contravveleno en 2002, Il Bacio di Polifemo en 2004, Affetto e attrazione en 2012 (Lizard Records), And in thy heart inurn me en 2018 (Lizard Records), Love sells poor bliss for proud despair est donc le cinquième album du groupe, toujours publié par Lizard Records.
Cette nouvelle livraison de Monjoie est une fois de plus basée sur des textes des grands poètes romantiques anglais (poèmes de John Keats, George Byron & Percy Bysshe Shelley). Il s'agit de la suite du projet entamé en 2018 avec l'album And in thy heart inurn. Les membres du groupe ont une fois de plus travaillé en collaboration. Le résultat de leurs études donne vie à un enchainement sonore cadencé donnant également une impression d’espace. Sur des compositions globalement sobres, les musiciens agrègent des parties chantées qui prennent évidemment une connotation très solennelle, langue anglaise d’une autre époque oblige ! Heureusement le chant reste en toute circonstance fluide et élégant. De même, les orientations musicales explorées (jazz, folk, prog, darkwave) sont utilisées avec beaucoup de mesure sans que l'on puisse jamais dire qu'un genre prend le pas sur un autre.
Love sells poor bliss for proud despair est une œuvre d'une grande beauté formelle qui prend ses sources dans des références esthétiques d'un autre temps et qui dégage de ce fait un sentiment de douce mélancolie parfaitement supportable car habilement présenté avec en plus une forme d'enchantement permanent qui rend ce côté nostalgique presque joyeux. Ecoutez "The flower that smiles today" et vous comprendrez. Ajoutez à cela une pochette qui est une véritable œuvre d'art resplendissante et votre bonheur sera parfait.


La tracklist :
Ode On A Grecian Urn (J. Keats)
1 Part 1 Thou still unravish'd bride of quietness
2 Part 2 Heard melodies are sweet but…
3 Part 3 Ah, happy, happy boughs!
4 Part 4 Who are these coming to the sacrifice?
5 Part 5 O attic shape! Fair attitude!
6 Mutability (P. B. Shelley)
7 To Night (P. B. Shelley)
8 A Lament (P. B. Shelley)
9 The Flower That Smiles Today (P. B. Shelley)
10 A Dirge (P. B. Shelley)
11 She Walks In Beauty (G. Byron)


Le groupe :Alessandro Brocchi (chant, guitare classique, guitare électrique, claviers, tampura),Valter Rosa (guitares acoustiques et électriques, bouzouki ), Davide Baglietto (flûte, claviers, musette du berry), Alessandro Mazzitelli (basse, claviers, programmation, percussions), Leonardo Saracino (batterie et percussions).

Avec la collaboration de : Edmondo Romano (saxophone et clarinette), Fabio Biale (violon), Matteo Dorigo (ghironda), Alessandro Luci (basse fretless), Simona Fasano (voix récitante), Lorenzo Baglietto (musette du Berry)

Label : Lizard records

dimanche 5 juillet 2020

LogoS : Sadako e le mille gru di carta

Le groupe LogoS a sorti le 1er juin 2020 son nouvel album, Sadako e le mille gru di carta. Après l'excellent L'enigma della vita qui date déjà de 2014, on pouvait s'attendre au meilleur. Je vous rassure tout de suite, c'est bien le cas. LogoS monte encore le niveau qualitatif d'un cran si ce n'est de plusieurs. Après une courte intro explosive ("Origami in SOL"), emmenée par une armada de synthés, le groupe passe immédiatement la vitesse supérieure et place la barre très haut avec "Paesaggi di insonnia" (10'26) et "Un lieto inquiertasi" qui confirment également la prépondérance des claviers. "Paesaggi di insonnia"joue sur deux tableaux à la fois : d'un côté la légèreté avec une ligne mélodique aérée, des parties de claviers à peine appuyées et un saxo limpide pour rehausser le tout, de l'autre côté une basse qui vient en contrepoint peser en imposant des riffs lourds mais parfaitement dosés, et ainsi rappeler la gravité du propos (voir en fin de chronique le résumé de l'histoire racontée).  "Un lieto inquiertasi" est quant à lui beaucoup plus exubérant, voire désinhibé,  dans un style très proche d'Emerson Lake & Palmer. Il y a pourtant un petit plus qui permet d'éviter au groupe d'être taxé de plagiat. Ce plus vous le trouverez au milieu du morceau à partir du très bel intermède en mode musique médiéval. Après, c'est simple c'est du LogoS et rien d'autre.  Et c'est très réussi !  
Arrive alors  une superbe chanson ("Il sarto"), qui ne manquera pas, d'évoquer aux fans de RPI le côté le plus mélodique du Le Orme d'Aldo Tagliapietra. Divine surprise : Elisa Montaldo chante sur ce titre.
Mais le meilleur est à venir car pour la deuxième partie de l'album (nous prendrons comme postulat que  "Il sarto" est la partie centrale du disque et qu'elle sert de charnière), les musiciens en ont gardé sous le pied. A la vérité "Zaini di elio" (12'37) et "Sadako e le mille gru di carta" (21'19) sont des épiques comme je n'en avais pas entendu depuis longtemps. Je vous les décris dans le détail ? Pas raisonnable, ce serait trop long. Il vous suffit de savoir que "Zaini di elio" garde, pendant ses 12 minutes 37, intérêt et intensité avec une trame très majoritairement instrumentale, les parties vocales arrivant seulement en deuxième partie du morceau pour rehausser le côté symphonique du tout. Je vous laisse également savourer la fin du morceau ou pour être plus exact le "grande finale" dans la plus pure tradition italienne. Quant à "Sadako e le mille gru di carta", attendez vous à vivre des émotions intenses pendant plus de vingt minutes. Le morceau vous prend à la gorge et aux tripes dès les premières secondes et ne vous lâche plus ensuite. Envolées symphoniques, rebondissements, changements de braquet, surprises en tout genre. Quand le prog italien est pratiqué comme cela, il n'a à avoir peur de personne et peut même regarder de haut les trop nombreuses productions douteuses et insipides qui encombrent les plateformes d'écoute spécialisées en prog (je suis en forme, je balance !).
Dois-je vous le dire,  avec ce titre LogoS atteint le sommet de sa carrière mais rejoint aussi et sans aucun doute possible, les plus grands du prog italien, je pense là surtout à Museo Rosenbach et Le Orme, groupes légendaires desquels LogoS se rapproche vraiment musicalement. On a connu comparaison moins flatteuse mais celle là est complètement méritée.  
2020 est loin d'être fini mais Sadako e le mille gru di carta prend déjà un net avantage pour le titre d'album de l'année.
Chapeau bas Messieurs Zerman, Perbellini, Antolini et Gaspari.  

Pour vous faire une première idée, voici le teaser déjà bien alléchant.
https://www.youtube.com/watch?v=WFw4pRQkHX8
 
La tracklist :
1. Origami in SOL
2. Paesaggi di insonnia
3. Un lieto inquiertasi
4. Il sarto
5. Zaini di elio
6. Sadako e le mille gru di carta

Le groupe : Luca Zerman (chant lead, claviers), Alessandro Perbellini (batterie), Claudio Antolini (claviers), Fabio Gaspari (basse, mandoline, chant)
invités : Federica Zocatelli (saxo sur 2), Elisa Montaldo (chant sur 4), Simone Chiampan (batterie sur 4), Massimo Maoli (guitare sur 6)

C'est sorti chez Andromeda Relix et distribué par Pick Up Records

Vous pouvez aussi allez sur le site du groupe  ce qui vous permettra de faire votre curieux et de vous intéresser au concept de l’album résumé ici en anglais par le groupe lui-même:
August 6th, 1945, 08:14 A.M. and 45 seconds
World War II is underway. It is morning in a Japanese town. The city is of military and industrial importance but is not considered a primary target in the conflict since it consists mainly of only civilians.
All the people are living their normal life. Thousands are heading off to work, the children are playing in a park or going to school. A plane is flying over the area. It doesn't look like a bomber and it is flying solo since the anti aircraft alarm is not active. It is a beautiful day, the sky is clear and the sun is shining.
Suddenly, however, something incredible happens: a second sun appears, a sun that releases an extreme light that, with a tremendous explosion, dazzles and destroys everything. The city is Hiroshima , the day is August 6th, 1945 . The time is exactly 08:14am and 45 seconds.

Who is Sadako? Sadako is a small girl who lives in Hiroshima.
She was in the park with her brother, just a few kilometers from where the detonation happened. The day the bomb went off she was two years old. The shock wave catapulted her in the air.
Sadako and her brother survived both the explosion and the radiation poisoning. Radiation caused disease and deaths after the bombing to about 20% of those who had survived the explosion. At the end of 1945 the number of people killed in Hiroshima and Nagasaki is estimated to have been around 200,000.
What are the thousand paper cranes?
Sadako became a strong and athletic young girl. At the age of eleven, after a sports competition, she started to feel unwell. She was diagnosed with a serious form of leukemia which was a consequence of the radiation released by the bomb. This really was an unnecessary price to pay, both silent and malicious, and inherited from that distant day.
Whilst in hospital, she was told about an ancient legend and story.
According to this legend whoever manages to create a thousand paper cranes with origami would have their wish come true. So, during all of those months in hospital Sadako made 644 cranes, with all sorts of types of paper. Soon after that however, she passed away.

samedi 4 juillet 2020

Mesmerising : The Clutters Storyteller


"Feel my dream" est un très beau titre extrait du nouvel album de Davide Moscato alias Mesmerising qui a su très bien s'entourer avec un backing band composé de Giovanni Pastorino (claviers), Martin Grice (flûte et saxophone), Paolo Tixi (batterie), Simone Amodeo (guitare) et Fabio Zuffanti himself à la basse et à la production. Voilà qui devrait rappeler de bons souvenirs à tous ceux qui ont suivi les aventures de Fabio et de son ZBand (La quarta Viitima).
On attend donc avec impatience de pouvoir écouter les autres morceaux de The Clutters Storyteller, publié par Lizard records.
Pour l’instant, vous pouvez savourer "Feel my dream" et sa très belle vidéo.
https://www.youtube.com/watch?v=VA9YH2T2ufE